Restauration de mon GR71F
Posté : 24 juil. 2022, 18:55
Bonjour,
(Idem que ma présentation)
En 1985 je rends visite à mon ami concessionnaire Suzuki.
Et là, paf, je prends une claque dans la g… en voyant la GR75A.
Mais hélas pas les moyens financiers puis surtout avec mon boulot pas le luxe de m’offrir une sortie en hôpital.
Alors je laisse tomber l’affaire.
20 ans plus tard la GR75A me gratouille de nouveau le cerveau car ce modèle commence à devenir collector…
Je pars donc à la recherche de mon Graal que je trouve avec un modèle à restaurer.
J’adore puisque restaurer c’est une aventure (et puis sauver une rareté destinée à mourir c’est sympa)…
Mon ami concessionnaire l’essai et me donne son aval.
Je lui confie la partie restauration mécanique et je m’occupe de la partie carénages.
Je trouve toutes les décos et tous les carénages d’origine que je fais restaurer et peindre.
Mon ami commence la restauration mécanique.
Mais à ma grande tristesse mon ami décède.
Dégouté puis par manque de temps (satané boulot) je laisse filer le temps.
Quand je reprends contact avec le nouveau concessionnaire ma GR75A à disparue…
Je ne m’étendrai pas sur cette disparition.
Pas d’assurance et pas de fiche d’atelier alors je n’ai plus que mes yeux pour pleurer.
Dégouté je laisse une fois de plus l’affaire tomber jusqu’au jour ou mon épouse lasse de voir les carénages encombrer l’un de ses placards me conseille gentiment de les “dégager“.
A regret je passe une annonce sur le “Coin, Coin“.
Après quelques contacts farfelus je lie un lien d’amitié avec un passionné lui aussi du GR75A qui me met le doute sur ma démarche de vente de mes carénages.
Avec un dernier espoir je fais un tour sur les sites internet.
Et là, pour la troisième fois, paf, je tombe sur mon nouveau Graal.
Comble du bonheur c’est un GR71F import du Japon (si je ne peux pas avoir une carte grise normale pas grave elle sera de collection).
La voici donc dans mon garage où je commence à mettre les mains dedans.
Deuxième bonheur le concessionnaire qui a perdu ma moto à laissé sa place et le nouveau est devenu un ami.
Je sais ma publication est un peu longue (bravo aux courageux qui ont été jusqu’au bout) mais comment raconter mon aventure en 3 mots.
Son état : Mécanique incertaine, carénages sabotés, suppression des 1/2 guidon et mise en place d'un guidon en partie haute du té supérieur, absence de boîtier filtre à air, montage des phares en H4, plaquettes de frein HS, maître cylindre de frein arrière HS, absence de barre supérieur de tête de fourche, etc...
Un instant j'ai pensé que l'installation du guidon en partie haute avait été faite pour faire du stunt mais non car l'ensemble présente un bon état et pas maltraité, le pneu arrière montre l'usure de sa partie centrale symptomatique d'une conduite pépère (Probablement un motard avec un mal de dos) et surtout les butées de braquage sont en parfait état.
Maintenant place à la restauration...
Ps : En photo mes carénages restaurés et mon nouveau Graal.
(Idem que ma présentation)
En 1985 je rends visite à mon ami concessionnaire Suzuki.
Et là, paf, je prends une claque dans la g… en voyant la GR75A.
Mais hélas pas les moyens financiers puis surtout avec mon boulot pas le luxe de m’offrir une sortie en hôpital.
Alors je laisse tomber l’affaire.
20 ans plus tard la GR75A me gratouille de nouveau le cerveau car ce modèle commence à devenir collector…
Je pars donc à la recherche de mon Graal que je trouve avec un modèle à restaurer.
J’adore puisque restaurer c’est une aventure (et puis sauver une rareté destinée à mourir c’est sympa)…
Mon ami concessionnaire l’essai et me donne son aval.
Je lui confie la partie restauration mécanique et je m’occupe de la partie carénages.
Je trouve toutes les décos et tous les carénages d’origine que je fais restaurer et peindre.
Mon ami commence la restauration mécanique.
Mais à ma grande tristesse mon ami décède.
Dégouté puis par manque de temps (satané boulot) je laisse filer le temps.
Quand je reprends contact avec le nouveau concessionnaire ma GR75A à disparue…
Je ne m’étendrai pas sur cette disparition.
Pas d’assurance et pas de fiche d’atelier alors je n’ai plus que mes yeux pour pleurer.
Dégouté je laisse une fois de plus l’affaire tomber jusqu’au jour ou mon épouse lasse de voir les carénages encombrer l’un de ses placards me conseille gentiment de les “dégager“.
A regret je passe une annonce sur le “Coin, Coin“.
Après quelques contacts farfelus je lie un lien d’amitié avec un passionné lui aussi du GR75A qui me met le doute sur ma démarche de vente de mes carénages.
Avec un dernier espoir je fais un tour sur les sites internet.
Et là, pour la troisième fois, paf, je tombe sur mon nouveau Graal.
Comble du bonheur c’est un GR71F import du Japon (si je ne peux pas avoir une carte grise normale pas grave elle sera de collection).
La voici donc dans mon garage où je commence à mettre les mains dedans.
Deuxième bonheur le concessionnaire qui a perdu ma moto à laissé sa place et le nouveau est devenu un ami.
Je sais ma publication est un peu longue (bravo aux courageux qui ont été jusqu’au bout) mais comment raconter mon aventure en 3 mots.
Son état : Mécanique incertaine, carénages sabotés, suppression des 1/2 guidon et mise en place d'un guidon en partie haute du té supérieur, absence de boîtier filtre à air, montage des phares en H4, plaquettes de frein HS, maître cylindre de frein arrière HS, absence de barre supérieur de tête de fourche, etc...
Un instant j'ai pensé que l'installation du guidon en partie haute avait été faite pour faire du stunt mais non car l'ensemble présente un bon état et pas maltraité, le pneu arrière montre l'usure de sa partie centrale symptomatique d'une conduite pépère (Probablement un motard avec un mal de dos) et surtout les butées de braquage sont en parfait état.
Maintenant place à la restauration...
Ps : En photo mes carénages restaurés et mon nouveau Graal.